L’équipe NÉVA est ravie d’accompagner Cutback Sports dans sa démarche audacieuse de transformation des normes de l’industrie de la glisse, en conseillant ses dirigeants dans la mise en œuvre de financements publics relatifs à son parcours d’innovation et ses travaux de R&D.
Soucieux de favoriser une production plus responsable en France, Antoine de Pierrefeu (à gauche sur la photo) et Malo Dourver (à droite) s’associent, mi-2020, pour créer Cutback Sports à Saint-Malo et développer la marque créée 7 ans plus tôt par Malo : MD Surfboards.
La stratégie pensée par Cutback Sports est de combiner innovation et réduction d’impact, en introduisant des planches de surf éco-conçues, réduisant ainsi l’impact carbone de plus de 50%.
« L’innovation est au cœur de la démarche de Cutback Sports. Nous croyons en une glisse plus responsable, sans surcoût », déclare Antoine de Pierrefeu.
Découvrons comment cette collaboration prometteuse va aider Cutback Sports à changer la donne dans le monde de la glisse.
Le défi environnemental de la glisse : réduire l’impact sur le terrain de jeu
Face aux enjeux environnementaux majeurs touchant le monde de la glisse, comme par exemple les menaces sur des sites emblématiques tel que celui retenu pour les JO, Teahupoo, Cutback Sports répond avec détermination.
Dans un contexte où les initiatives de sensibilisation abondent, l’entreprise se distingue en adoptant une approche globale, de la matière première à la conception finale de ses planches, de leur mode d’utilisation à leur fin de vie.
La solution Cutback Sports
En tant qu’acteur 100% intégré en France, Cutback Sports se positionne à l’avant-garde de la production responsable de planches de surf. L’utilisation exclusive du pain révolutionnaire EON Foam, moulé en Bretagne, et non plus importé de Californie, élaboré à partir de biomasse (déchets verts) selon la méthode de Mass Balance par l’industriel allemand Knauf, constitue une avancée majeure.
Une approche globale de la filière glisse
Au-delà du pain EON Foam, Cutback Sports intègre dans son processus de fabrication des colles, fibres, résines et matériaux innovants à impact réduit sur l’environnement.
Au-delà des planches, qui ne représentent que 4,5% du marché, Cutback Sports a tissé un réseau de partenaires aligné avec sa démarche sur le textile et les accessoires.
Un label propriétaire, « Glisse Responsable », garantit des normes élevées en éco-conception et conditions de travail équitables, plaçant au premier plan ses exigences de responsabilité, partagées avec toutes les parties prenantes de sa filière.
Un projet ambitieux pour un futur plus durable
Cutback Sports propose aux acteurs mondiaux de produire en Europe l’intégralité des planches destinées au Vieux Continent.
Soutenu par la Région Bretagne, la CCI d’Ille et Vilaine, et l’agglomération de Saint-Malo, accompagnée par l’accélérateur Néo Start-ups industrielles de BPI France, la société prépare désormais, dans le cadre du programme France Relance 2030, la construction d’une première usine, à Saint-Malo, exemplaire en matière RSE, qui sera opérationnelle dans 5 ans.
Soutien sans faille de la communauté
Des tests réalisés par des figures majeures du surf mondial, fabricants et championnes et champions, valident la qualité et la performance des planches.
MD Surfboards, la marque vitrine de Cutback Sports, compte parmi ses ambassadeurs une dizaine de surfeuses et surfeurs bretons de renom tels que Ian Fontaine, Gaspard Larsonneur, Maelys Jouault, Benoit Carpentier ou encore Martin Letourneur.
Chiffres Clés et Perspectives
Les prévisions prudentes mais réalistes de Cutback Sports prévoient la production d’ici 4 ans de 20 000 planches de gamme débutant à expert.
À pleine capacité, Cutback Sports pourrait devenir le plus grand producteur européen de planches avec une production de 50 000 unités par an d’ici 2030.
Larry Perlade, CEO de NÉVA, conclut : « Nous sommes ravis d’aider Cutback Sports à s’appuyer sur les financements publics destinés à soutenir l’innovation et à la R&D pour garantir un avenir responsable à l’industrie de la glisse et contribuer ainsi à la réduction de l’impact de nos loisirs sur le terrain de jeu. »